Câlin
Paris [L'International] - mardi 06 mars 2012 |
Soirée presque printanière, on déambule dans la rue Oberkampf à la recherche d'une taverne accueillante, attendant l'heure fatidique ou débutera le concert de Câlin, évènement pour ceux qui ont écouté durant tout l'hiver leur Black Chinese II, devant la cheminée, nu sur une peau de bête en écoutant le premier morceau & faire l'hélicoptère avec sa...
Bref.
Une petite foule est agglutinée devant le bar, le sous sol n'est pas vraiment plein pour le moment, Câlin s'installe tranquillement à quelques centimètres de nous. Le temps de se frayer un chemin jusqu'au comptoir, revenir devant la scène ils attaquent tout synthés dehors, frôlant le hardfm sur "Le Foot C'est Le Pied", micro tuné ou vocodé, le batteur joue au castrat magnétique en s'excitant sur ses fûts, guitare sauvage et "clavier guitare" (vous savez, comme chez François Valéry, le synthé en bandoulière, je suis certain que la comparaison leur plaira) Ils sont à bloc, nous aussi, le public, bien plus curieux que connaisseur (une jeune fille qui demande à mon voisin "vous savez leur nom?") répond massivement à l'appel lors du "Robot Wigger", "Attentif ensemble", ou la maitrise collective du synthé à deux doigts...
Un grand moment de musique, de moustache, d'accent africain, de bandeau, et de slow.
Oui, on a eu un merveilleux slow en milieu de set, mention spécial au merveilleux guitariste & la folie de ses solos...(ça fait deux fois merveilleux mais ça les mérite amplement. la Vic sortant du lycée Henri IV en serait verte. Elle sortirait son walkman pour se le remettre jusqu'à la fin du concert. Mais nous savoure un pareil moment, qui donne envie de... ben d'avoir envie, tout simplement.
Bref.
Une petite foule est agglutinée devant le bar, le sous sol n'est pas vraiment plein pour le moment, Câlin s'installe tranquillement à quelques centimètres de nous. Le temps de se frayer un chemin jusqu'au comptoir, revenir devant la scène ils attaquent tout synthés dehors, frôlant le hardfm sur "Le Foot C'est Le Pied", micro tuné ou vocodé, le batteur joue au castrat magnétique en s'excitant sur ses fûts, guitare sauvage et "clavier guitare" (vous savez, comme chez François Valéry, le synthé en bandoulière, je suis certain que la comparaison leur plaira) Ils sont à bloc, nous aussi, le public, bien plus curieux que connaisseur (une jeune fille qui demande à mon voisin "vous savez leur nom?") répond massivement à l'appel lors du "Robot Wigger", "Attentif ensemble", ou la maitrise collective du synthé à deux doigts...
Un grand moment de musique, de moustache, d'accent africain, de bandeau, et de slow.
Oui, on a eu un merveilleux slow en milieu de set, mention spécial au merveilleux guitariste & la folie de ses solos...(ça fait deux fois merveilleux mais ça les mérite amplement. la Vic sortant du lycée Henri IV en serait verte. Elle sortirait son walkman pour se le remettre jusqu'à la fin du concert. Mais nous savoure un pareil moment, qui donne envie de... ben d'avoir envie, tout simplement.
Excellent ! 18/20 | par X_Lok |
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