The Beta Band
Paris [La Maroquinerie] - lundi 24 mai 2004 |
Au moment où se joue la fin de ce groupe étonnant, il me semble opportun de revenir sur une de leurs performances scéniques.
Tout d'abord, surprise : des affiches des Fabulous Trobadors partout ! C'est OK, ils font relâche ce soir. Ouf !
Deuxième impression : le bordel sur scène ... Les musicos ont encore moins de place que nous, qui sommes coincés derrière 3 mastards de 1m90. Encore une soirée sur la pointe des pieds ...
Le concert, maintenant. Ah non, un film : un court-métrage navigant quelques part entre "Les 7 Samouraïs" (avec des kilts) et "Sacré Graal". La BO est enregistrée, mais très "Betabandienne".
Ah, enfin, ils commencent le concert : basse très présente, ce qui n'est pas pour me déplaire. Plusieurs claviers, un chanteur-guitariste avec un passe-montagne, deux batteries mais un seul batteur (le chanteur prendra la deuxième, pour un instrumental un peu plus tard dans la soirée).
Des ambiances, comme sur les albums, avec des effets visuels assez déroutants : des images floues, des lumières et des écrans dans tous les sens. Si on ne regarde pas le public, on a un peu l'impression d'être en 1967 et d'assister au troisième concert de Pink Floyd dans une école d'arts appliqués.
Vous avez l'impression que cette chronique est confuse ? ... C'est un peu ce qui reste de ce set ; on en ressort avec en tête des images étonnantes, des mélodies magnifiques, des ambiances irréelles, mais on n'est pas complètement rentré dedans : trop d'échanges d'instruments entre musiciens, quelques longueurs dans les instrumentaux ...
Une curiosité tout de même.
Tout d'abord, surprise : des affiches des Fabulous Trobadors partout ! C'est OK, ils font relâche ce soir. Ouf !
Deuxième impression : le bordel sur scène ... Les musicos ont encore moins de place que nous, qui sommes coincés derrière 3 mastards de 1m90. Encore une soirée sur la pointe des pieds ...
Le concert, maintenant. Ah non, un film : un court-métrage navigant quelques part entre "Les 7 Samouraïs" (avec des kilts) et "Sacré Graal". La BO est enregistrée, mais très "Betabandienne".
Ah, enfin, ils commencent le concert : basse très présente, ce qui n'est pas pour me déplaire. Plusieurs claviers, un chanteur-guitariste avec un passe-montagne, deux batteries mais un seul batteur (le chanteur prendra la deuxième, pour un instrumental un peu plus tard dans la soirée).
Des ambiances, comme sur les albums, avec des effets visuels assez déroutants : des images floues, des lumières et des écrans dans tous les sens. Si on ne regarde pas le public, on a un peu l'impression d'être en 1967 et d'assister au troisième concert de Pink Floyd dans une école d'arts appliqués.
Vous avez l'impression que cette chronique est confuse ? ... C'est un peu ce qui reste de ce set ; on en ressort avec en tête des images étonnantes, des mélodies magnifiques, des ambiances irréelles, mais on n'est pas complètement rentré dedans : trop d'échanges d'instruments entre musiciens, quelques longueurs dans les instrumentaux ...
Une curiosité tout de même.
Sympa 14/20 | par Myfriendgoo |
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