Dopplereffekt
Gesamtuntswerk |
Label :
International Deejay Gigolo |
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La chronique pour ne rien dire. Aussi vide que gratuite. Juste pour dire au gars qui a fait accepter Dopplereffekt sur X-Silence que ce n'est pas bien de venir ainsi remuer le passé de personnes qui n'avaient rien demandé. Car oui je connais, et même que ce Gesamtuntswerk, je l'ai écouté une chiée de fois, du temps où ma frangine était abonnée aux magasines D-Side et Elegy. Cela nous remet loin, trop loin peut-être même.
Ce disque est cool. Point. Minimaliste, électronique sans être bêtement dansant, je le vois plus comme une suite d'ambiances plus ou moins réfléchies, plus ou moins rythmées qui, en bonne chair pourrissante que je suis, ne peut s'empêcher de croire que la musique Electro des années 90 était largement supérieure à ce qui se fait aujourd'hui et ce pour une raison simple : le tout digital n'avait pas encore pris le pas sur le "vrai" jeu. Aujourd'hui, un mongolien armé d'une clé usb prend les boîtes de nuit en otages quand, avant, il y avait encore des types pour réellement jouer. Et pour bien comprendre ce discours je vous renvoie aux entretiens d'Arnaud Rebotini, vous me remercierez plus tard si jamais ça vous permet de découvrir sa musique, solo ou avec Black Strobe.
Vous direz "tu ne parles pas du disque, on ne sait rien de ce Dopplereffekt". Bah oui ma couille, tu ne sais rien parce qu'il n'y a rien de plus en dire. Là, on parle d'une époque, d'une ambiance, pas du dernier tube à la mode de trisomiques en short sur les plages de Cancun. Donc si tu ne connais pas et que t'aimes le beat, tu écoutes et tu te fais ta propre opinion et sinon, si ton truc c'est les guitares et les cheveux gras, parfait : tu oublies, c'est encore ce que l'on fait de mieux.
Ce disque est cool. Point. Minimaliste, électronique sans être bêtement dansant, je le vois plus comme une suite d'ambiances plus ou moins réfléchies, plus ou moins rythmées qui, en bonne chair pourrissante que je suis, ne peut s'empêcher de croire que la musique Electro des années 90 était largement supérieure à ce qui se fait aujourd'hui et ce pour une raison simple : le tout digital n'avait pas encore pris le pas sur le "vrai" jeu. Aujourd'hui, un mongolien armé d'une clé usb prend les boîtes de nuit en otages quand, avant, il y avait encore des types pour réellement jouer. Et pour bien comprendre ce discours je vous renvoie aux entretiens d'Arnaud Rebotini, vous me remercierez plus tard si jamais ça vous permet de découvrir sa musique, solo ou avec Black Strobe.
Vous direz "tu ne parles pas du disque, on ne sait rien de ce Dopplereffekt". Bah oui ma couille, tu ne sais rien parce qu'il n'y a rien de plus en dire. Là, on parle d'une époque, d'une ambiance, pas du dernier tube à la mode de trisomiques en short sur les plages de Cancun. Donc si tu ne connais pas et que t'aimes le beat, tu écoutes et tu te fais ta propre opinion et sinon, si ton truc c'est les guitares et les cheveux gras, parfait : tu oublies, c'est encore ce que l'on fait de mieux.
Bon 15/20 | par Arno Vice |
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