Whirlwind Heat
Do Rabbits Wonder ? |
Label :
Third Man |
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Une basse (psyché), un chanteur (à interner de toute urgence), et un batteur (complètement allumé), donc ...
De toutes façons, de la part de Jack White (production pour Third Man Records), on ne pouvait s'attendre qu' à du très bon (ou au pire, à du nouveau !).
Et puis de toutes façons, ça sert à quoi les noms de morceaux ? Ca a toujours été chiant, donc on remplace tout par des couleurs et puis c'est marrant.
Dès le premier morceau "Orange", ce petit groupe nous prend direct aux tripes, pour nous les lâcher uniquement lorsque la fin de "Grey" pointe le bout de son nez.
Un punk fou et intense. A écouter la nuit en roulant très vite, ou parfait pour vider une piste de danse du vendredi soir.
De toutes façons, de la part de Jack White (production pour Third Man Records), on ne pouvait s'attendre qu' à du très bon (ou au pire, à du nouveau !).
Et puis de toutes façons, ça sert à quoi les noms de morceaux ? Ca a toujours été chiant, donc on remplace tout par des couleurs et puis c'est marrant.
Dès le premier morceau "Orange", ce petit groupe nous prend direct aux tripes, pour nous les lâcher uniquement lorsque la fin de "Grey" pointe le bout de son nez.
Un punk fou et intense. A écouter la nuit en roulant très vite, ou parfait pour vider une piste de danse du vendredi soir.
Très bon 16/20 | par Louie Louie |
Posté le 06 décembre 2005 à 00 h 21 |
Whirlwind Heat, c'est de la musique sous contraintes auto-imposées. Ou comment faire du rock qui claque, sans guitares, sans mélodies et sans titres accrocheurs...
C'est donc la batterie et la basse qui se chargent des riffs tueurs, et l'accroche des mélodies est remplacée par des éructations tout aussi mortelles. Une petite boite à sons analogiques est dispo aussi, entre autres pour remplacer les solos pleins de bends (en fait c'est un moog, mais ici on touche plus aux potards qu'au clavier).
Les parties instrus sont toutes inventives, tout est bien foutu et très cohérent. La voix prend des tons variés du sage imperturbable ("White") à l'hystérique incontrôlable ("Grey"), je ne sais pas trop quoi dire sur elle, que des bonnes choses...
Au final ça donne de vraies bonnes chansons courtes aussi minimalistes que rockénerolles.
Enfin bref c'est complètement barré tout en restant totalement efficace, c'est tout petit, et ça fait un bruit pas possible.
C'est donc la batterie et la basse qui se chargent des riffs tueurs, et l'accroche des mélodies est remplacée par des éructations tout aussi mortelles. Une petite boite à sons analogiques est dispo aussi, entre autres pour remplacer les solos pleins de bends (en fait c'est un moog, mais ici on touche plus aux potards qu'au clavier).
Les parties instrus sont toutes inventives, tout est bien foutu et très cohérent. La voix prend des tons variés du sage imperturbable ("White") à l'hystérique incontrôlable ("Grey"), je ne sais pas trop quoi dire sur elle, que des bonnes choses...
Au final ça donne de vraies bonnes chansons courtes aussi minimalistes que rockénerolles.
Enfin bref c'est complètement barré tout en restant totalement efficace, c'est tout petit, et ça fait un bruit pas possible.
Excellent ! 18/20
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