Bellini
Snowing Sun |
Label :
Monitor |
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La sicile, Chicago ... On se croierait dans l'âge d'or des mafias en tout genre (cf. Tintin en Amérique) !
L'écurie Don Cab (temporairement) fermée, le gros Damon est au chômdu ... mais pas pour longtemps !
Agostino Tilotta et Giovanna Caciolla, baroudeurs dans le noise-supa-powaa-claque-ta-reum avec Uzeda, le prennent dans leurs bras de siciliens. Ce gosse gâté de génie de batteur, leur offre un bassiste (Matthew Taylor) de dérrière les fagots, simplifie ses plans et cogne toujours comme un sourd sous cocaïne dans une nouvelle chimère : une Cosa Nostra plus crapuleuse qu' Al Capone, plus dangereuse que la bande à Baader, plus sournoise que la Triade, et plus malsaine et toxique que les clans russes : Bellini.
Le clan des siciliens part à Chicago, passe dans l'antre de notre 'Steve' adoré, et nous sort un album atomique.
On retrouve tant les expérimentations d'Uzeda, que la surpuissance des cavaliers de l'enfer, un peu d'électronique et d'accordéon en plus. On sent la patte Albini : les guitares font grincer les mâchoires, la basse colle des tartes, la batterie reste toujours impressionante, même si à mille lieux des polyrythmes incompréhensibles de notre cavalerie secrète. Bref, ça cogne, ça grince, c'est jouissif c'est du Fuckin' Rock n roll !.
Malheureusement, cette enflure de Damon Che Fitzgerald, sentant que contrairement à Don Caballero, il ne tenait pas la vedette, laisse exploser son Ego démesuré et plante ses acolytes en pleine tournée ... Ils se rabattront sur le batteur des Girls Against Boys.
Au final, quelques sulfateuses sûrement passées en douce à la frontières, en soudoyant des douaniers véreux à grands coup de valises pleine de vieilles lires, sentant à plein nez la blanche fraîchement coupée ... Mais surtout une sordide machination, un attentat sonore, un sacré album de rock comme ça faisait longtemps qu'on n'en avait pas entendu !
L'écurie Don Cab (temporairement) fermée, le gros Damon est au chômdu ... mais pas pour longtemps !
Agostino Tilotta et Giovanna Caciolla, baroudeurs dans le noise-supa-powaa-claque-ta-reum avec Uzeda, le prennent dans leurs bras de siciliens. Ce gosse gâté de génie de batteur, leur offre un bassiste (Matthew Taylor) de dérrière les fagots, simplifie ses plans et cogne toujours comme un sourd sous cocaïne dans une nouvelle chimère : une Cosa Nostra plus crapuleuse qu' Al Capone, plus dangereuse que la bande à Baader, plus sournoise que la Triade, et plus malsaine et toxique que les clans russes : Bellini.
Le clan des siciliens part à Chicago, passe dans l'antre de notre 'Steve' adoré, et nous sort un album atomique.
On retrouve tant les expérimentations d'Uzeda, que la surpuissance des cavaliers de l'enfer, un peu d'électronique et d'accordéon en plus. On sent la patte Albini : les guitares font grincer les mâchoires, la basse colle des tartes, la batterie reste toujours impressionante, même si à mille lieux des polyrythmes incompréhensibles de notre cavalerie secrète. Bref, ça cogne, ça grince, c'est jouissif c'est du Fuckin' Rock n roll !.
Malheureusement, cette enflure de Damon Che Fitzgerald, sentant que contrairement à Don Caballero, il ne tenait pas la vedette, laisse exploser son Ego démesuré et plante ses acolytes en pleine tournée ... Ils se rabattront sur le batteur des Girls Against Boys.
Au final, quelques sulfateuses sûrement passées en douce à la frontières, en soudoyant des douaniers véreux à grands coup de valises pleine de vieilles lires, sentant à plein nez la blanche fraîchement coupée ... Mais surtout une sordide machination, un attentat sonore, un sacré album de rock comme ça faisait longtemps qu'on n'en avait pas entendu !
Excellent ! 18/20 | par Lolive |
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