Loudermilk
The Red Record |
Label :
Dreamworks |
||||
2002, dans le paysage américain musical refaisait surface aux Etats Unis un groupe qui n'as jamais eu de chance. En effet, ce groupe qui avait sorti un premier album autoproduit très remarqué par les majors, s'était vu lâcher par sa maison de disques juste avant la sortie de son 2ème album, qui finalement ne sortira jamais. c'est donc le premier disque qui sort sur une major telle que Dreamworks.
Le son y est ici beaucoup plus net et plus travaillé, en alternant moments pop (jusqu'ici plus ou moins inconnus au groupe), et évidemment moments hard rock.
La presse spécialisée a trouvé en eux un air de Guns 'N Roses (détestant ce groupe, je ne peux pas faire de comparaison), que le groupe a repris à ses débuts, ou de Smashing Pumpkins (pour les morceaux progressifs).
Cet album s'est vendu à environ 25 000 exemplaires, ce qui est une petite performance pour un groupe sans promotion, bien que sur une major. Le groupe étant plus à l'aise dans ses chansons et ayant acquéri une experience scénique plus grande, le groupe tourna par la suite avec Megadeath et Motley Crue's, ou bien Slayer.
On y retrouve des 'mini hits', comme le lourd morceau d'ouverture où Isaac Carpenter impose son style : "Extogen Oxygen Ashes In The Teeth Again", "Juillet", "California", ou le déjanté "Rock & Roll & The Teenage Desparation", dont le riff n'est pas sans rappeller le "Come As You Are" de Nirvana.
Normallement, le CD est toujours disponible en import malgré que Loudermilk ait quitté son label pour se reformer en Gosling. Après cet album, qui a destabilisé les fans de la première heure par ses balades, chacun pouvait émettre ses hypothèses sur l'avenir du groupe et son nouveau son ; il semblerait que les balades l'aient emporté au détriment du hard rock grunge des débuts.
Sans innover dans le genre, cet album et ce groupe trop injustement méconnu savent apporter une bouffée d'oxygène au milieu des nombreux groupes de métalleux. De plus, vous vous surprendrez à fredonner les airs des chansons accrocheuses au bout de 2 ou 3 écoutes !
Le son y est ici beaucoup plus net et plus travaillé, en alternant moments pop (jusqu'ici plus ou moins inconnus au groupe), et évidemment moments hard rock.
La presse spécialisée a trouvé en eux un air de Guns 'N Roses (détestant ce groupe, je ne peux pas faire de comparaison), que le groupe a repris à ses débuts, ou de Smashing Pumpkins (pour les morceaux progressifs).
Cet album s'est vendu à environ 25 000 exemplaires, ce qui est une petite performance pour un groupe sans promotion, bien que sur une major. Le groupe étant plus à l'aise dans ses chansons et ayant acquéri une experience scénique plus grande, le groupe tourna par la suite avec Megadeath et Motley Crue's, ou bien Slayer.
On y retrouve des 'mini hits', comme le lourd morceau d'ouverture où Isaac Carpenter impose son style : "Extogen Oxygen Ashes In The Teeth Again", "Juillet", "California", ou le déjanté "Rock & Roll & The Teenage Desparation", dont le riff n'est pas sans rappeller le "Come As You Are" de Nirvana.
Normallement, le CD est toujours disponible en import malgré que Loudermilk ait quitté son label pour se reformer en Gosling. Après cet album, qui a destabilisé les fans de la première heure par ses balades, chacun pouvait émettre ses hypothèses sur l'avenir du groupe et son nouveau son ; il semblerait que les balades l'aient emporté au détriment du hard rock grunge des débuts.
Sans innover dans le genre, cet album et ce groupe trop injustement méconnu savent apporter une bouffée d'oxygène au milieu des nombreux groupes de métalleux. De plus, vous vous surprendrez à fredonner les airs des chansons accrocheuses au bout de 2 ou 3 écoutes !
Parfait 17/20 | par Metaxas |
En ligne
705 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages