Bardo Pond
Selections : Volumes I-IV |
Label :
All Tomorrow's Parties |
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Message à l'attention des fans de Spacemen 3 (et de Loop).
La musique de Bardo Pond me procure les mêmes sensations que mes lectures des premières nouvelles et d'un roman (Portrait Du Diable En Chapeau Melon) de Serge Brussolo: un rêve, proche du cauchemar, qui s'étend à l'infini et dont on ne peut pas s'extraire, qui finit par devenir familier et agréable, dans lequel on se replonge avec délectation, problème d'accoutumance, sans doute.
C'est une musique monochrome à peine traversée par une voix souvent méconnaissable, striée de riffs étouffés par la distorsion et où l'on perçoit une flûte errant comme une âme égarée à la recherche d'un corps à coloniser.
Pendant plus de deux heures l'extase vous emporte puis vous submerge, comme si deux mains douces mais fermes vous massaient littéralement le cerveau; bien-être, volupté, frisson, tension. Il faut revenir en douceur, s'éveiller. Le retour à la vie sera délicat, bouche sèche, hébétude.
La musique de Bardo Pond me procure les mêmes sensations que mes lectures des premières nouvelles et d'un roman (Portrait Du Diable En Chapeau Melon) de Serge Brussolo: un rêve, proche du cauchemar, qui s'étend à l'infini et dont on ne peut pas s'extraire, qui finit par devenir familier et agréable, dans lequel on se replonge avec délectation, problème d'accoutumance, sans doute.
C'est une musique monochrome à peine traversée par une voix souvent méconnaissable, striée de riffs étouffés par la distorsion et où l'on perçoit une flûte errant comme une âme égarée à la recherche d'un corps à coloniser.
Pendant plus de deux heures l'extase vous emporte puis vous submerge, comme si deux mains douces mais fermes vous massaient littéralement le cerveau; bien-être, volupté, frisson, tension. Il faut revenir en douceur, s'éveiller. Le retour à la vie sera délicat, bouche sèche, hébétude.
Très bon 16/20 | par Hpl |
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