Matt Ward
Transistor Radio |
Label :
Merge |
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Dans un univers néo-folk en pleine expansion où on trouve tout et n'importe quoi, Matt Ward est quelqu'un sur qui compter. Ses albums ne déçoivent pas et sont un joli échantillon de ce que l'indie-folk devrait être. Matiné de pop sautillante et (parfois) de rock nerveux, des textes poétiques qui ne se prennent pas au sérieux, une voix abimée mais attachante... Si Post-War est l'apogée de son oeuvre, Transistor Radio est un exemple réussi du travail de l'artiste, qui gagnerait à être connu.
Sorti en 2005, cet album nous plonge directement hors du temps. Et nous amène aussi bien à Nashville qu'à Honolulu ! C'est riche, varié. La country enjouée de "Paul's Song". L'excellent "Four Hours In Washington", sombre et énervé. Des textes sous le signe de l'introspection, qui dégagent une réelle poésie, pure, sans artifices. Malgré le désordre ambiant, l'album reste cohérent du début à la fin et lorsqu'il se termine, on a envie de prolonger l'aventure...
Un disque hors du temps, plein d'imagination, qui nous propose un joli bricolage, un folk tour à tour nerveux et apaisé. Une belle surprise, comme on n'en croise que très rarement...
Sorti en 2005, cet album nous plonge directement hors du temps. Et nous amène aussi bien à Nashville qu'à Honolulu ! C'est riche, varié. La country enjouée de "Paul's Song". L'excellent "Four Hours In Washington", sombre et énervé. Des textes sous le signe de l'introspection, qui dégagent une réelle poésie, pure, sans artifices. Malgré le désordre ambiant, l'album reste cohérent du début à la fin et lorsqu'il se termine, on a envie de prolonger l'aventure...
Un disque hors du temps, plein d'imagination, qui nous propose un joli bricolage, un folk tour à tour nerveux et apaisé. Une belle surprise, comme on n'en croise que très rarement...
Très bon 16/20 | par Dylanesque |
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