The Bishops
The Bishops |
Label :
1234 |
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En provenance d'Angleterre, deux frangins et leur pote épatent un jeune public avec leur rock-garage et leur style année 60's de façon irréprochable.
Il ne s'agit pas de petits minets tout droit sortis d'une grande major, dont la musique a comme unique but de faire le bruit des tiroirs caisses, ça serait une très grave erreur de jugement.
Non, ici nous avons affaire à une signature dans un tout petit label (chez 1234 Records) et par un trio, anciens étudiants en art, âgés à peine de la vingtaine, reconstruisant du rock-garage avec un très bon son rétro, sous influence des plus grands noms du classic-rock anglais, que même au premier abord on pourrait croire qu'il s'agit en fait des enfants de The Jam.
Fondé à Somerset par deux frères jumeaux Mike et Pete Bishops et complété par leur pote à la batterie Chris McConville, The Bishops commencent dans un premier temps à jouer dans des petits endroits entre amis, histoire de faire danser les copains et les copines. Jusqu'à ce que les choses deviennent beaucoup plus sérieuses et qu'ils décident d'en faire plus qu'un simple hobbie, remarque avec une telle énergie qu'ils dégagent ils ne pouvaient pas rester dans une cave, ça serait gâcher un énorme potentiel...
En France c'est en 2006, aux Transmusicales de Rennes qu'ils se feront révéler et l'année suivante ils sortent leur tout premier album éponyme, excellent de bout en bout.
Produit par l'excellent Liam Watson (le responsable The Whites Stripes) ce n'est pas étonnant de savoir qu'avec lui le résulta est impeccable.
Loin du tapage médiatique, loin d'une nouvelle scène hype, ce disque passe inaperçu et pourtant il est très loin d'être médiocre, c'est une dynamite.
Les morceaux sont brefs mais énergiques, vifs et surtout mélodieux. Puis ils sont d'une efficacité surprenante, des morceaux comme "Breakaway", "So High", "I Can't Stand It Amymore", "Back And Forth", "Carousel" entres autres le prouvent parfaitement.
Bien sûr il y a tout un héritage de groupes british qui plane sur ce disque, on sent fortement les influences Beatles, d'autant plus la mignonne chanson d'amour "The Only Place I Can Look Is Down" ne dira pas le contraire. On imagine même que les Bishops ont beaucoup écouté les prestigieuses compiles Nuggets.
Le conseil à suivre c'est de ne pas les rater sur scène et ne pas passer à côté de cet album, surtout ceux qui aiment le rock à l'esprit très 60's, vous ne serez pas déçus.
The Bishops ce n'est pas le groupe du siècle, c'est juste un groupe prometteur, c'est la meilleure révélation rock anglaise de 2007 et cet album est à découvrir d'urgence pour les amateurs de la scène pop/rock anglaise et les curieux.
Il ne s'agit pas de petits minets tout droit sortis d'une grande major, dont la musique a comme unique but de faire le bruit des tiroirs caisses, ça serait une très grave erreur de jugement.
Non, ici nous avons affaire à une signature dans un tout petit label (chez 1234 Records) et par un trio, anciens étudiants en art, âgés à peine de la vingtaine, reconstruisant du rock-garage avec un très bon son rétro, sous influence des plus grands noms du classic-rock anglais, que même au premier abord on pourrait croire qu'il s'agit en fait des enfants de The Jam.
Fondé à Somerset par deux frères jumeaux Mike et Pete Bishops et complété par leur pote à la batterie Chris McConville, The Bishops commencent dans un premier temps à jouer dans des petits endroits entre amis, histoire de faire danser les copains et les copines. Jusqu'à ce que les choses deviennent beaucoup plus sérieuses et qu'ils décident d'en faire plus qu'un simple hobbie, remarque avec une telle énergie qu'ils dégagent ils ne pouvaient pas rester dans une cave, ça serait gâcher un énorme potentiel...
En France c'est en 2006, aux Transmusicales de Rennes qu'ils se feront révéler et l'année suivante ils sortent leur tout premier album éponyme, excellent de bout en bout.
Produit par l'excellent Liam Watson (le responsable The Whites Stripes) ce n'est pas étonnant de savoir qu'avec lui le résulta est impeccable.
Loin du tapage médiatique, loin d'une nouvelle scène hype, ce disque passe inaperçu et pourtant il est très loin d'être médiocre, c'est une dynamite.
Les morceaux sont brefs mais énergiques, vifs et surtout mélodieux. Puis ils sont d'une efficacité surprenante, des morceaux comme "Breakaway", "So High", "I Can't Stand It Amymore", "Back And Forth", "Carousel" entres autres le prouvent parfaitement.
Bien sûr il y a tout un héritage de groupes british qui plane sur ce disque, on sent fortement les influences Beatles, d'autant plus la mignonne chanson d'amour "The Only Place I Can Look Is Down" ne dira pas le contraire. On imagine même que les Bishops ont beaucoup écouté les prestigieuses compiles Nuggets.
Le conseil à suivre c'est de ne pas les rater sur scène et ne pas passer à côté de cet album, surtout ceux qui aiment le rock à l'esprit très 60's, vous ne serez pas déçus.
The Bishops ce n'est pas le groupe du siècle, c'est juste un groupe prometteur, c'est la meilleure révélation rock anglaise de 2007 et cet album est à découvrir d'urgence pour les amateurs de la scène pop/rock anglaise et les curieux.
Excellent ! 18/20 | par Seona*Lopertin |
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