The New Pornographers
Electric Version |
Label :
Matador |
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Cette pop chantilly, ce son lourd et lisse à la fois, ces chansons malignes qui battent la chamade d'un enthousiasme débordant, cette exubérance bodybuildée qui cogne au moindre refrain... Rien n'a changé. Le talent de ces Canadiens est intact, il reluit et sert tout fou, tout heureux des platées de mélodies graves infectieuses comme disent les english.
L'enchaînement "The Laws Have Changed"/"The End Of Medicine"/"Loose Translation" et là c'est une peste bubonique, donner vos morts!, un fléau, impossible d'y réchapper. Rien n'a changé. De nouvelles chansons, c'est tout. 3 ans après Mass Romantic, un Mass Romantic bis et la sentence était définitive. Le meilleur of the world, le seul, le vrai groupe power pop en ces années zéros : les New Pornographers. Point de concurrence. L'acmé d'un style qui ne prend pas de gant, c'est ici et rien qu'ici.
Unique bémol, petit, minuscule bémol de cet Electric Version (mais c'est plus histoire d'allonger un peu artificiellement ma chronique qui aurait dû se limiter à un 'Pareil que le premier' si les X bureaucrates acceptaient encore le genre ultra-court) : cette manie à la "Helter Skelter" de finir la chanson, laisser passer quelque secondes de silence, pour ensuite, oh! surprise, la reprendre et la finir définitivement. Un brin barbant quand cela est répété de chansons en chansons. Mais c'est juste ‘histoire de' hein...
L'enchaînement "The Laws Have Changed"/"The End Of Medicine"/"Loose Translation" et là c'est une peste bubonique, donner vos morts!, un fléau, impossible d'y réchapper. Rien n'a changé. De nouvelles chansons, c'est tout. 3 ans après Mass Romantic, un Mass Romantic bis et la sentence était définitive. Le meilleur of the world, le seul, le vrai groupe power pop en ces années zéros : les New Pornographers. Point de concurrence. L'acmé d'un style qui ne prend pas de gant, c'est ici et rien qu'ici.
Unique bémol, petit, minuscule bémol de cet Electric Version (mais c'est plus histoire d'allonger un peu artificiellement ma chronique qui aurait dû se limiter à un 'Pareil que le premier' si les X bureaucrates acceptaient encore le genre ultra-court) : cette manie à la "Helter Skelter" de finir la chanson, laisser passer quelque secondes de silence, pour ensuite, oh! surprise, la reprendre et la finir définitivement. Un brin barbant quand cela est répété de chansons en chansons. Mais c'est juste ‘histoire de' hein...
Parfait 17/20 | par Sirius |
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