And Also The Trees
Hunter Not The Hunted |
Label :
And Also The Trees |
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Pour tout vous dire, je découvre And Also The Trees avec ce disque. Je ne sais donc rien de la façon dont ils sonnaient en 1979, ni même en 1989, et encore moins en 1999.
Parcourant quelques éléments biographiques, je découvre des noms associés comme Lol Tolhurst, une ambiance cold wave, pour un retour acoustique ces dernières années.
Bon, ça assoit un peu le groupe, ça pourrait orienter mon point de vue, mais rien ne vaut une écoute... J'enfourne donc Hunter Not The Hunted dans ma platine. Écoutes après écoutes, Je découvre une ambiance feutrée, presque acoustique, une voix presque rassurante, entre Nick Cave & Stuart A. Stapples, une atmosphère rappelant les Tindersticks justement ("What's Lost Finds", le génial "Angel, Devil, Man & Beast'').
Un mélodica se glisse derrière le prédi-conteur Simon Huw Jones, parlant par moments (My Face Is Here In the Wildfire, chantant sur d'autres des vagues de guitares, une contrebasse s'invite, on est bien loin du post punk des débuts, plutôt dans la suite logique de When The Rains Come, l'album d'adaptation acoustique d'anciennes chansons.
Les ambiances divinement arrangées sont un écrin idéal pour la voix grave de Simon ("Burn Down this Town", "The Floating Man"), des accords à fleurs de peau, pour soudain se faire emporter par une sorte de choeurs de marins inattendu ("Bloodline")...
La comparaison avec Nick Cave s'arrête à la voix, car ici, contrairement aux Bad Seeds, une grande part est laissée à la musique, à cet espèce de magma sonore ("Black Handed Knife" magique couple de minutes pendant lesquelles Simon Jones nous récite comme un poème)
Ce disque assurément me donne envie de plonger dans la carrière de ce groupe, découvrir le changement de cap, les éructations post punk des débuts, jusqu'à la puissance contenue de ce Hunter Not The Hunted...
Parcourant quelques éléments biographiques, je découvre des noms associés comme Lol Tolhurst, une ambiance cold wave, pour un retour acoustique ces dernières années.
Bon, ça assoit un peu le groupe, ça pourrait orienter mon point de vue, mais rien ne vaut une écoute... J'enfourne donc Hunter Not The Hunted dans ma platine. Écoutes après écoutes, Je découvre une ambiance feutrée, presque acoustique, une voix presque rassurante, entre Nick Cave & Stuart A. Stapples, une atmosphère rappelant les Tindersticks justement ("What's Lost Finds", le génial "Angel, Devil, Man & Beast'').
Un mélodica se glisse derrière le prédi-conteur Simon Huw Jones, parlant par moments (My Face Is Here In the Wildfire, chantant sur d'autres des vagues de guitares, une contrebasse s'invite, on est bien loin du post punk des débuts, plutôt dans la suite logique de When The Rains Come, l'album d'adaptation acoustique d'anciennes chansons.
Les ambiances divinement arrangées sont un écrin idéal pour la voix grave de Simon ("Burn Down this Town", "The Floating Man"), des accords à fleurs de peau, pour soudain se faire emporter par une sorte de choeurs de marins inattendu ("Bloodline")...
La comparaison avec Nick Cave s'arrête à la voix, car ici, contrairement aux Bad Seeds, une grande part est laissée à la musique, à cet espèce de magma sonore ("Black Handed Knife" magique couple de minutes pendant lesquelles Simon Jones nous récite comme un poème)
Ce disque assurément me donne envie de plonger dans la carrière de ce groupe, découvrir le changement de cap, les éructations post punk des débuts, jusqu'à la puissance contenue de ce Hunter Not The Hunted...
Parfait 17/20 | par X_Lok |
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