Bleeding Rainbow
Yeah Right |
Label :
Kanine |
||||
Avec tous les groupes estampillés garage qui nous tombent sur le coin de la gueule, on serait presque tenté de croire que cet énième résurrection musicale a enterré la précédente, avec sa foultitude de groupes donnant dans la noise-pop, l'anorak-pop, le shoegaze, et j'en passe. Mais il n'en est rien.
Je pourrais aussi bien m'arrêter là pour parler de ce Yeah Right tonitruant, les amateurs de garage passeraient leur chemin, les autres iront sans doute jeter une oreille distraite sur quelques titres du groupe, sans pour autant attendre à quoi que ce soit. Et ce serait dommage.
Oui c'est vrai, Bleeding Rainbow n'a pas inventé grand chose, si ce n'est un nom un peu trop emo pour être honnête. En même temps si on recherchait l'invention musicale en 2013, on n'écouterait pas grand chose....
Ils se placent plutôt dans l'exécution, le grondement de guitares cher à Kevin Shields, des petits tubes vraiment bien troussés, la voix de Sarah Everton emporte l'adhésion d'office. Les titres s'enchaînent, un peu trop facilement sans doute, mais ce serait bouder son plaisir que d'aller chercher de quelle titres des 90's vient ce riff ou ce rythme, se demander où on a déjà entendu cette ligne de basse.
Libre de toutes les appréhensions inhérentes au genre, on se laisse emporter très facilement par le coté noisy et les mélodies pop, on pourrait même devenir facilement dépendant. le mélange des voix masculine/féminine tend par moment vers le meilleur de Veronica Falls, mais en disant ça j'ai moi même oublier mon propre conseil.
Caler vous ce disque entre les oreilles, jouez au grand jeu des références, mais vous n'avez pas besoin de moi pour savoir occuper vos oreilles & vos soirées. Mais quand même, jetez une oreille même distraite à ce disque, vous y reviendrez forcément.
Je pourrais aussi bien m'arrêter là pour parler de ce Yeah Right tonitruant, les amateurs de garage passeraient leur chemin, les autres iront sans doute jeter une oreille distraite sur quelques titres du groupe, sans pour autant attendre à quoi que ce soit. Et ce serait dommage.
Oui c'est vrai, Bleeding Rainbow n'a pas inventé grand chose, si ce n'est un nom un peu trop emo pour être honnête. En même temps si on recherchait l'invention musicale en 2013, on n'écouterait pas grand chose....
Ils se placent plutôt dans l'exécution, le grondement de guitares cher à Kevin Shields, des petits tubes vraiment bien troussés, la voix de Sarah Everton emporte l'adhésion d'office. Les titres s'enchaînent, un peu trop facilement sans doute, mais ce serait bouder son plaisir que d'aller chercher de quelle titres des 90's vient ce riff ou ce rythme, se demander où on a déjà entendu cette ligne de basse.
Libre de toutes les appréhensions inhérentes au genre, on se laisse emporter très facilement par le coté noisy et les mélodies pop, on pourrait même devenir facilement dépendant. le mélange des voix masculine/féminine tend par moment vers le meilleur de Veronica Falls, mais en disant ça j'ai moi même oublier mon propre conseil.
Caler vous ce disque entre les oreilles, jouez au grand jeu des références, mais vous n'avez pas besoin de moi pour savoir occuper vos oreilles & vos soirées. Mais quand même, jetez une oreille même distraite à ce disque, vous y reviendrez forcément.
Bon 15/20 | par X_Lok |
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