French Cowboy & The One
French Cowboy & The One |
Label :
Havalina |
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Je n'ai jamais écouté French Cowboy. Faut dire qu'à l'époque une copine revenait de Québec, ne jurant que par les Cowboys Fringants. J'ai du faire un amalgame inconscient, même si je n'ai pas jeté une oreille sur ces derniers, ou alors distraites en soirée.
Sans savoir du tout de quoi il retourne, je me retrouve avec le disque de French Cowboy & The One dans les mains, nom peu attractif, vous en conviendrez. Le disque disparaît dans ma pile de trucs à écouter, perdu dans la masse, puis revient me tire presque la manche en me susurrant de l'écouter. bonne poire, je cède à ses caprices, et avec le recul je me dis que j'ai rudement bien fait.
EBM en force, "Yell Yeah" plonge la tête la première dans les 80's belges, minimaliste et explosif avec ce genre de mélodie qui rend un morceau reconnaissable aux premières secondes. La voix chaude de Federico s'adapte avec facilité aux différents genre présent sur le disque, du blues teinté d'électro ("Keep Rockin') à la new wave en français ("You Wanna Sing"), en passant par le bon gros rock qui tache ("Giving Up"), sans oublier la pop crasseuse ("Dig"). On sent qu'ils se sont fait plaisir sur ce disque, presque qu'il a été composé en pensant à la scène, sans trop charger, réussir à le retranscrire à deux mais sans pour autant céder à la facilité de l'équation mainte fois entendu (boumboum + ligne de synthé + voix parfois vocodée) même si l'album ne se limite à ce genre, loin de là. Non. Ces types savent ce qu'ils font, et le font plutôt bien.
Comme quoi, il faut parfois céder aux avances d'une rondelle, aussi camouflée soit elle, et ne pas bouder son plaisir devant un album aussi rondement mené. avec même des contrepèteries dedans. oui, oui.
Sans savoir du tout de quoi il retourne, je me retrouve avec le disque de French Cowboy & The One dans les mains, nom peu attractif, vous en conviendrez. Le disque disparaît dans ma pile de trucs à écouter, perdu dans la masse, puis revient me tire presque la manche en me susurrant de l'écouter. bonne poire, je cède à ses caprices, et avec le recul je me dis que j'ai rudement bien fait.
EBM en force, "Yell Yeah" plonge la tête la première dans les 80's belges, minimaliste et explosif avec ce genre de mélodie qui rend un morceau reconnaissable aux premières secondes. La voix chaude de Federico s'adapte avec facilité aux différents genre présent sur le disque, du blues teinté d'électro ("Keep Rockin') à la new wave en français ("You Wanna Sing"), en passant par le bon gros rock qui tache ("Giving Up"), sans oublier la pop crasseuse ("Dig"). On sent qu'ils se sont fait plaisir sur ce disque, presque qu'il a été composé en pensant à la scène, sans trop charger, réussir à le retranscrire à deux mais sans pour autant céder à la facilité de l'équation mainte fois entendu (boumboum + ligne de synthé + voix parfois vocodée) même si l'album ne se limite à ce genre, loin de là. Non. Ces types savent ce qu'ils font, et le font plutôt bien.
Comme quoi, il faut parfois céder aux avances d'une rondelle, aussi camouflée soit elle, et ne pas bouder son plaisir devant un album aussi rondement mené. avec même des contrepèteries dedans. oui, oui.
Bon 15/20 | par X_Lok |
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