Deus
Neuve-Eglise [Festival Décibulles] - samedi 25 juin 2011 |
dEUS est en concert aux Décibulles, un sympathique festival bas-rhinois situé entre Sélestat et Villé, festival qui en est à sa dix huitième édition. C'est d'autant plus curieux qu'un sixième album du groupe belge (que je n'avais pas croisé depuis seize ans) n'a pas encore été annoncé. Du moins, je n'en avais pas eu vent jusqu'à ce que le meneur Tom Barman, entre deux clopes aux lèvres, en informera son public pour sa sortie en septembre. Un premier extrait joué aura un paisible rythme dub dans le ventre plutôt intéressant. Un second, sera moins mémorable.
Après ouverture, "Fell Off The Floor, Man" n'a pas manqué de faire presque renverser. Ce n'est pas simple de faire le pylône stoïque aux côtés de quelques joyeux fêtards, ces mêmes collectifs d'électrons décibulleurs qui augmenteront plus tard le volume de poussière qui s'élèvera derrière les barrières, en relation avec le coup d'accélérateur du bon final de "Instant Street". Il semble clair que ce sont des morceaux les plus marquants des trois premiers albums qui ont le plus agité, parfois laissant planer le violon de Klaas Janzoons. "The Architect" n'a tout de même pas fait bouder le plaisir et "Bad Timing" c'est bien introduit dans la nuit tombée au-dessus du festival perché près de l'Altenberg et sous la veillance lointaine du château de Frankenbourg. C'est sur l'énergique "Suds & Soda" et une dernière houle du public que les Belges quitteront les lieux. Lieux qui, ceci-dit, motivent à de bonnes randonnées dans les alentours.
Après ouverture, "Fell Off The Floor, Man" n'a pas manqué de faire presque renverser. Ce n'est pas simple de faire le pylône stoïque aux côtés de quelques joyeux fêtards, ces mêmes collectifs d'électrons décibulleurs qui augmenteront plus tard le volume de poussière qui s'élèvera derrière les barrières, en relation avec le coup d'accélérateur du bon final de "Instant Street". Il semble clair que ce sont des morceaux les plus marquants des trois premiers albums qui ont le plus agité, parfois laissant planer le violon de Klaas Janzoons. "The Architect" n'a tout de même pas fait bouder le plaisir et "Bad Timing" c'est bien introduit dans la nuit tombée au-dessus du festival perché près de l'Altenberg et sous la veillance lointaine du château de Frankenbourg. C'est sur l'énergique "Suds & Soda" et une dernière houle du public que les Belges quitteront les lieux. Lieux qui, ceci-dit, motivent à de bonnes randonnées dans les alentours.
Bon 15/20 | par Pascha |
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