R.E.M.
Hong-Kong - Chine [Hall 3] - dimanche 20 mars 2005 |
Première chronique d'un concert, je ne sais pas par où commencer.
Donc d'entrée R.E.M. se lance dans un "I Took Your Name" plein de d'énergie et de suite on sent que ce soir, quelque chose de magique va se passer.
Puis l'enchaînement avec "Bad Day". La foule reprenant en choeur les morceaux surtout les premiers rangs.
Mickael Stipe est dans un très bon jour. Il interprète comme jamais ses morceaux et démontre qu'il est et reste l'un des plus grands performers de ce début de siècle. Par contre, Peter Buck n'était pas aussi en forme que son leader. Mike Mills, lui, était tout à son aise dans son inévitable costume bleu à paillette qui le fera toujours ressemblé à un mec passant du hippie au disco. Et que dire de l'incroyable Scott 'sautillant' Mac Coy.
REM joua l'intégralité de son répertoire; le concert devenant à s'y méprendre à un live de leur best-of agrémenté d'un toujours très omniprésent "High Speed Train". Pour introduire les deux morceaux tirés de leur dernier album, Michael Stipe explique que c'est deux lettres ouvertes à l'adresse d'un gros con de Texan ("gros con", c'est moi qui le dit), qui s'étouffe avec des brownies.
Mais malheureusement pour moi, ils ont fini par "Man On The Moon" (genre c'est un regret); et non pas par l'éternel "It's The End Of The World As We Know It (And I Feel Fine)".
Cependant le débat reste lancé "Peut on être trop exigeant sur un groupe que l'on aime ?"
(c'est la seule critique que j'ai trouvée à faire), mais bon, il y a eu aussi un ratage de solo sur "What's The Frequency Kenneth" :p.
Pour bien définir l'impression générale du concert, il faudrait imaginer une bouteille de Champomy remplie de champagne dont personne ne pourrait plus boire tellement on était saoul de son.
Donc un dernier mot, merci R.E.M. pour nous montrer ce que vous savez faire.
Donc d'entrée R.E.M. se lance dans un "I Took Your Name" plein de d'énergie et de suite on sent que ce soir, quelque chose de magique va se passer.
Puis l'enchaînement avec "Bad Day". La foule reprenant en choeur les morceaux surtout les premiers rangs.
Mickael Stipe est dans un très bon jour. Il interprète comme jamais ses morceaux et démontre qu'il est et reste l'un des plus grands performers de ce début de siècle. Par contre, Peter Buck n'était pas aussi en forme que son leader. Mike Mills, lui, était tout à son aise dans son inévitable costume bleu à paillette qui le fera toujours ressemblé à un mec passant du hippie au disco. Et que dire de l'incroyable Scott 'sautillant' Mac Coy.
REM joua l'intégralité de son répertoire; le concert devenant à s'y méprendre à un live de leur best-of agrémenté d'un toujours très omniprésent "High Speed Train". Pour introduire les deux morceaux tirés de leur dernier album, Michael Stipe explique que c'est deux lettres ouvertes à l'adresse d'un gros con de Texan ("gros con", c'est moi qui le dit), qui s'étouffe avec des brownies.
Mais malheureusement pour moi, ils ont fini par "Man On The Moon" (genre c'est un regret); et non pas par l'éternel "It's The End Of The World As We Know It (And I Feel Fine)".
Cependant le débat reste lancé "Peut on être trop exigeant sur un groupe que l'on aime ?"
(c'est la seule critique que j'ai trouvée à faire), mais bon, il y a eu aussi un ratage de solo sur "What's The Frequency Kenneth" :p.
Pour bien définir l'impression générale du concert, il faudrait imaginer une bouteille de Champomy remplie de champagne dont personne ne pourrait plus boire tellement on était saoul de son.
Donc un dernier mot, merci R.E.M. pour nous montrer ce que vous savez faire.
Très bon 16/20 | par El lamo |
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