Queen Adreena
Paris [Le Batofar] - vendredi 03 juin 2005 |
Placé en ouverture d'une soirée à tendance gotho-trasho-... [remplacer par la mention utile], ce concert de Queen Adreena a vite tourné au grand n'importe quoi, pour le plus grand bonheur d'un public en manque de sensations fortes (peut-être même en manque de sensations tout court, mais ça ne nous regarde pas ...), à en voir la furie déclenchée par la chanteuse dès qu'elle a enlevé ses lunettes de soleil, après quelques lignes de chant a capella.
Et là, c'est un gros son de basse avec un gros son de guitare, et un gros son de batterie (le même tout au long du concert ...) qui vont accompagner cette jeune et jolie fille, dans l'expression de ses morceaux où elle fera tout et n'importe quoi (se taper derrière la tête avec le micro, faire semblant de s'étrangler, se griffer les cuisses et j'en passe ... mais c'était de la folie furieuse !), carrément jouissif pour le public qui la fera trébucher plusieurs fois, qui slammera à tout va, qui ...
Ceci se continuera dans le rappel, où visiblement Queen Adreena livre ses deux meilleurs titres (je crois qu'au 'cri-omètre', le Suck,Suck,Suck remporte tous les suffrages ...), avant de finir sur une dernière ligne de chant a capella.
Et ensuite, le public en transe depuis une heure, se disperse immédiatement et calmement.
Un concert sociologiquement intéressant qui montre -si c'est encore à montrer-, l'éclectisme des programmations du Batofar.
Et là, c'est un gros son de basse avec un gros son de guitare, et un gros son de batterie (le même tout au long du concert ...) qui vont accompagner cette jeune et jolie fille, dans l'expression de ses morceaux où elle fera tout et n'importe quoi (se taper derrière la tête avec le micro, faire semblant de s'étrangler, se griffer les cuisses et j'en passe ... mais c'était de la folie furieuse !), carrément jouissif pour le public qui la fera trébucher plusieurs fois, qui slammera à tout va, qui ...
Ceci se continuera dans le rappel, où visiblement Queen Adreena livre ses deux meilleurs titres (je crois qu'au 'cri-omètre', le Suck,Suck,Suck remporte tous les suffrages ...), avant de finir sur une dernière ligne de chant a capella.
Et ensuite, le public en transe depuis une heure, se disperse immédiatement et calmement.
Un concert sociologiquement intéressant qui montre -si c'est encore à montrer-, l'éclectisme des programmations du Batofar.
Moyen 10/20 | par Takichan |
Photo par http://lockuhome.free.fr/ Merci.
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