Ricky Hollywood
Le Modeste Album |
Label :
Futur Records |
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Pour son premier album, Stéphane Bellity alias Ricky Hollywood a mis de l'addictif ! Mais si vous savez cet ingrédient mystérieux et difficile à trouver en magasin, car plus rare qu'un ortolan cuisiné par Maïté, que ma grand-mère rajoute par exemple dans son célèbre gâteau aux marrons connu dans tout le canton de Castillon...c'est sûr Ricky t'as piqué ton truc Mamie, je n'arrête pas d'écouter Le modeste Album !
Je ne vois pas d'autres explications... Sinon comment ce musicien déjà aperçu avec Melody's Echo Chamber, La Féline ou Kumisolo a-t-il pu enregistrer un tube du calibre de ce "Salut, je ne te reconnais pas" avec un gout de "reviens-y" pareil, par exemple ? C'est léger, croquant et savoureux en langage Cyril Lignac. On y retrouve une base guitare-basse-batterie poppy-funky-jazzy toute simple et derrière c'est l'explosion de saveurs ; un nappage de chant doux et de paroles délicieusement marrantes (ça parle des gens qui vous reconnaissent et...que vous ne reconnaissez pas !). Le tout est saupoudré avec "juste ce qu'il faut" de claviers, cuivres, cordes et surtout...ben surtout il s'agit tout simplement d'une grande chanson qui reste en tête et qu'on a envie d'écouter mystérieusement 10 fois d'affilé. Une sorte de mix Burgalat/Tahiti 80 de grande classe. Tiens Bertrand Burgalat justement, il est en Guest sur une autre pépite de ce disque ; le tubesque "L'amour peut être" et ses paroles inénarrables : "As-tu fait l'amour hier ? Feras-tu l'amour demain ? Si tu fais l'amour alors fais le bien." Addictif donc, comme les 9 titres de ce premier album dans la lignée de ce que la pop indé française nous propose depuis quelques années (l'album a d'ailleurs eu droit à sa version "Remix" sorti chez La souterraine avec des covers de François and the Atlas Mountain ou Le Colisée) .
Batteur de formation, Stéphane Bellity nous enveloppe durant les 35 minutes de ce Le modeste album de douceur et d'ambiances parfaitement rythmées tour à tour électro, funk, jazz, pop ou dance avec nonchalance et classe. Oui vraiment classe, bravo Ricky !
Je ne vois pas d'autres explications... Sinon comment ce musicien déjà aperçu avec Melody's Echo Chamber, La Féline ou Kumisolo a-t-il pu enregistrer un tube du calibre de ce "Salut, je ne te reconnais pas" avec un gout de "reviens-y" pareil, par exemple ? C'est léger, croquant et savoureux en langage Cyril Lignac. On y retrouve une base guitare-basse-batterie poppy-funky-jazzy toute simple et derrière c'est l'explosion de saveurs ; un nappage de chant doux et de paroles délicieusement marrantes (ça parle des gens qui vous reconnaissent et...que vous ne reconnaissez pas !). Le tout est saupoudré avec "juste ce qu'il faut" de claviers, cuivres, cordes et surtout...ben surtout il s'agit tout simplement d'une grande chanson qui reste en tête et qu'on a envie d'écouter mystérieusement 10 fois d'affilé. Une sorte de mix Burgalat/Tahiti 80 de grande classe. Tiens Bertrand Burgalat justement, il est en Guest sur une autre pépite de ce disque ; le tubesque "L'amour peut être" et ses paroles inénarrables : "As-tu fait l'amour hier ? Feras-tu l'amour demain ? Si tu fais l'amour alors fais le bien." Addictif donc, comme les 9 titres de ce premier album dans la lignée de ce que la pop indé française nous propose depuis quelques années (l'album a d'ailleurs eu droit à sa version "Remix" sorti chez La souterraine avec des covers de François and the Atlas Mountain ou Le Colisée) .
Batteur de formation, Stéphane Bellity nous enveloppe durant les 35 minutes de ce Le modeste album de douceur et d'ambiances parfaitement rythmées tour à tour électro, funk, jazz, pop ou dance avec nonchalance et classe. Oui vraiment classe, bravo Ricky !
Très bon 16/20 | par X_Plock |
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