The White Stripes
De Stijl |
Label :
XL |
||||
J'ajoute cette chronique en 2004, et à ma grande surprise, je suis le premier à chroniquer cet album des Whites Stripes.
L'album s'ouvre sur "You're Pretty Good Looking (For a Girl)", immédiatement accrocheur. Jack White propulse à travers sa guitare une puissance que l'on prend de plein fouet ... dément. Simple au niveau des paroles (ça casse pas des briques, on peut pas dire le contraire ... Une ancienne expérience de Jack sans doute, une fille conne et plutôt pas mal... ??), on se laisse quand même ennivrer par son riff complètement porteur.
Suit "Hello Operator", où Jack nous montre furtivement son habilité à la guitare, (et où on entend que Meg serait aussi à l'aise à taper sur des casseroles que sur des tambourins, mais bon...). Un vrai morceau estampillé frère et soeur White (ah, ils sont frère et soeur ? Admettons...).
Les autres morceaux se suivent et l'on a du mal à quitter cette atmosphère propre à ce couple si fantastique. Chaque morceau transporte dans l'au-delà musical, et la qualité musicale de Jack y est pour beaucoup. C'est incroyable le nombre de sentiments que Jack est capable de nous transmettre à travers sa seule guitare ! (J'oublie volontairement Meg, sa participation dans l'album se limitant à quelques vocalises et à faire du boom-boom ... dommage...).
Quoiqu'il en soit, cet album est dans son ensemble magnifique, et la teinte folk de "Your Southern Can Is Mine" nous rappelle les origines des White Stripes, et lui ajoute ce petit quelque chose qui fait que les White Stripes sont, à mon goût, un groupe mythique.
Tout simplement sous le charme de ce duo.
L'album s'ouvre sur "You're Pretty Good Looking (For a Girl)", immédiatement accrocheur. Jack White propulse à travers sa guitare une puissance que l'on prend de plein fouet ... dément. Simple au niveau des paroles (ça casse pas des briques, on peut pas dire le contraire ... Une ancienne expérience de Jack sans doute, une fille conne et plutôt pas mal... ??), on se laisse quand même ennivrer par son riff complètement porteur.
Suit "Hello Operator", où Jack nous montre furtivement son habilité à la guitare, (et où on entend que Meg serait aussi à l'aise à taper sur des casseroles que sur des tambourins, mais bon...). Un vrai morceau estampillé frère et soeur White (ah, ils sont frère et soeur ? Admettons...).
Les autres morceaux se suivent et l'on a du mal à quitter cette atmosphère propre à ce couple si fantastique. Chaque morceau transporte dans l'au-delà musical, et la qualité musicale de Jack y est pour beaucoup. C'est incroyable le nombre de sentiments que Jack est capable de nous transmettre à travers sa seule guitare ! (J'oublie volontairement Meg, sa participation dans l'album se limitant à quelques vocalises et à faire du boom-boom ... dommage...).
Quoiqu'il en soit, cet album est dans son ensemble magnifique, et la teinte folk de "Your Southern Can Is Mine" nous rappelle les origines des White Stripes, et lui ajoute ce petit quelque chose qui fait que les White Stripes sont, à mon goût, un groupe mythique.
Tout simplement sous le charme de ce duo.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par KayzR |
Posté le 05 septembre 2005 à 14 h 49 |
Si comme moi vous avez déjà effectué une recherche sur ce troisième album des White Stripes, vous vous y êtes sûrement pris à plusieurs reprises avant d'en écrire correctement le nom. De Stijl (prononcer "dé stéyl", du néerlandais "le style") est une revue d'art plastique et d'architecture, publiée de 1917 à 1928. Par extension, De Stijl désigne tout un mouvement artistique, issu du néo-plastiscisme et ayant profondément influencé l'architecture du XXe siècle. On peut en voir un exemple sur la pochette du LP. Je suis d'accord: on s'en fout, il fallait bien trouver un nom à cet album, mais c'est que Jack & Meg adorent faire planer des mystères autour des formes et des couleurs (rouge et blanc). Que dire de cet album ? Il est conforme au stijl du duo qui respecte la règle: cru, crade, court et en boucle. "Apple Blossom" en est un parfait exemple, mais que c'est bon ! Qu'est ce qu'on peut bien leur trouver à ces deux psychopathes ? Et bien, ils jouent un rock pur, simple, éclatant. Rien d'exceptionnel, et c'est peut-être tout ce qui fait le charme. J'avoue, j'aime ce côté son pourri, un peu saturé, vintage. Parfois, je trouve que l'album prend des sonorités des Rolling Stones du temps de leur Beggar's Banquet. Pas besoin de trente six instruments pour faire de la bonne musique, les White Stripes le prouvent.
Bon 15/20
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