Velma
Ludwig |
Label :
MNarsitik |
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Velma n'en finit pas de m'impressionner ! Chaque album, chaque morceau ne cesse de construire et de parfaire un univers atmosphérique et hypnotique tout bonnement passionnant. Avec Ludwig, c'est une énorme pierre que Velma a ainsi rajouté à l'édifice qu'est l'ensemble de son œuvre, aussi ambiante soit-elle. Tour à tour calme ou angoissé, lumineux ou inquiétant, ce troisième album du groupe de Lausanne impose définitivement, si besoin était, LE son de Velma.
Ludwig ouvre une brèche dans le fil du temps, comme si tout s'arrêtait pour ne laisser place qu'à la mouvance sonore envoûtante du trio helvétique. Pénétrer dans l'univers des trois Suisses à travers ce troisième effort c'est faire abstraction de tout ce qui nous entoure, comme si plus rien n'avait la moindre importance. C'est un peu ça, Ludwig: une alternative au monde qui nous entoure, un plongeon dans une nouvelle sphère totalement inédite.
Ici, Velma a mis l'accent sur les ambiances acoustiques, mais toujours aussi synthétiques. C'est un trip hop intime (voire intimiste) et aérien mêlé d'électronica qui s'impose naturellement au fil des onze morceaux, conduisant à donner un caractère d'irréalité à l'album, à l'image de "Progression" ou du sublime "Cube" d'ailleurs. Ces boucles électroniques qui se répètent, ces arpèges acoustiques aussi fragiles qu'envoûtants, la voix délicate de Christophe Jacquet font de Ludwig un voyage vers des horizons imaginaires. Sorte de trip hallucinatoire (c'est un pléonasme) aussi agréable que délicieux, cet opus se vit comme un rêve éveillé, un voyage qui nous promène au sein de paysages à la fois bucoliques et modernes idéalisés par les cerveaux de Jacquet, Garcia et Vecchione.
Coup de génie orchestré de main de maître par trois hommes à l'allure anodine, Ludwig est un album parfait sur toute sa durée, aussi bien au niveau des compositions elles-mêmes que de la production qui colle idéalement à l'esprit de la galette. Et clin d'œil qui tient plus à l'amusement qu'à un narcissisme déplacé, Velma rend un "Hommage" à... Velma en reprenant plusieurs de ses titres dès le morceau d'ouverture. La boucle est bouclée !
Ludwig ouvre une brèche dans le fil du temps, comme si tout s'arrêtait pour ne laisser place qu'à la mouvance sonore envoûtante du trio helvétique. Pénétrer dans l'univers des trois Suisses à travers ce troisième effort c'est faire abstraction de tout ce qui nous entoure, comme si plus rien n'avait la moindre importance. C'est un peu ça, Ludwig: une alternative au monde qui nous entoure, un plongeon dans une nouvelle sphère totalement inédite.
Ici, Velma a mis l'accent sur les ambiances acoustiques, mais toujours aussi synthétiques. C'est un trip hop intime (voire intimiste) et aérien mêlé d'électronica qui s'impose naturellement au fil des onze morceaux, conduisant à donner un caractère d'irréalité à l'album, à l'image de "Progression" ou du sublime "Cube" d'ailleurs. Ces boucles électroniques qui se répètent, ces arpèges acoustiques aussi fragiles qu'envoûtants, la voix délicate de Christophe Jacquet font de Ludwig un voyage vers des horizons imaginaires. Sorte de trip hallucinatoire (c'est un pléonasme) aussi agréable que délicieux, cet opus se vit comme un rêve éveillé, un voyage qui nous promène au sein de paysages à la fois bucoliques et modernes idéalisés par les cerveaux de Jacquet, Garcia et Vecchione.
Coup de génie orchestré de main de maître par trois hommes à l'allure anodine, Ludwig est un album parfait sur toute sa durée, aussi bien au niveau des compositions elles-mêmes que de la production qui colle idéalement à l'esprit de la galette. Et clin d'œil qui tient plus à l'amusement qu'à un narcissisme déplacé, Velma rend un "Hommage" à... Velma en reprenant plusieurs de ses titres dès le morceau d'ouverture. La boucle est bouclée !
Parfait 17/20 | par X_Jpbowersock |
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