Bohren & Der Club Of Gore
Piano Nights |
Label :
PIAS, Ipecac |
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Un nouvel album de Bohren & Der Club Of Gore vous demandez-vous ? En un sens oui, même s'il me semble plus judicieux de parler de "plus récent" plutôt que de "nouveau". La raison en est évidente, Piano Nights contient exactement les mêmes éléments musicaux que ceux qui ont fait la renommée des Allemands sur leurs autres sorties. Vous me direz qu'il n'est pas le premier groupe à exploiter jusqu'à la corde une formule gagnante, je pourrais moi-même en citer des centaines, mais le style pratiqué par la formation rend cette absence de renouvellement étrangement plus flagrante.
Mais est-ce réellement un problème ? La qualité en souffre-t-elle ? Bien entendu, non. Piano Nights est une nouvelle perle de Jazz Doom Ambiant peut-être légèrement moins anxiogène que les productions précédentes du fait d'une basse moins étouffante, de cuivres davantage présents et d'une production plus aérée. Il reste que les références sont toujours là : on pense à Lynch, au Blue Velvet, au Silencio, à des choses belles, tristes, au Senshurt, au Spleen, à la mélancolie. Sans compter l'avantage de ne plus avoir à se passer Black Earth en boucle...
Mais est-ce réellement un problème ? La qualité en souffre-t-elle ? Bien entendu, non. Piano Nights est une nouvelle perle de Jazz Doom Ambiant peut-être légèrement moins anxiogène que les productions précédentes du fait d'une basse moins étouffante, de cuivres davantage présents et d'une production plus aérée. Il reste que les références sont toujours là : on pense à Lynch, au Blue Velvet, au Silencio, à des choses belles, tristes, au Senshurt, au Spleen, à la mélancolie. Sans compter l'avantage de ne plus avoir à se passer Black Earth en boucle...
Parfait 17/20 | par Arno Vice |
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