Franz Ferdinand
Colmar [Foire Aux Vins] - mardi 15 août 2006 |
Point fort de l'édition de 2006, Franz Ferdinand pose ses valises dans notre bonne vieille contrée. Quand l'Angleterre débarque en France !
La soirée s'ouvre avec un groupe local, Superdog. Sympathique groupe français qui fleure bon la pop anglaise, avec des effluves Beatlesiennes. Mais bon, même si le public alsacien leur font un bon accueil, tout le monde garde son hystérie pour Franz Ferdinand. Après tout le bruit qu'ils ont fait dans toute l'Europe, et leur succès fulgurant, il était grand temps qu'on puisse enfin les juger sur scène et à domicile.
La batterie est posée sur une sorte d"estrade en velours rouge avec des spots intégrés, et qui se prolonge façon podium de défilé de mode. Et 4 pans tendus forment un écran. Pendant le concert, les images projetées alternent entre la pochette du dernier album, et portraits des 4 membres du groupe en noir et blanc version Krafwerk ou encore Heroes de Bowie.
Enfin ils arrivent, ils sont tous là ! Alex Kapranos, le chanteur, avec sa petite chemise rouge, sa fine cravate et son pantalon noir, et par dessus tout sa coupe de cheveux fait revivre le spectre de Clo Clo.
On les attendait au tournant, et personne n'a été déçu je crois ! Sur scène, le groupe met vraiment le feu, et c'est le cas de le dire après le solo endiablé de batterie sur ''This Fire'', qui laisse Paul Thomson totalement claqué. La tuerie continue, ébouriffant entre autres ''The Dark Of The Matinée" ou le très attendu ''Take Me Out''.
On retrouve dans le duo Kapranos/McCarthy le même genre d'alchimie qui règne entre Jagger/Richards. Les deux s'éclatent dans des duels manche contre manche jouissifs, avec une vraie complicité, un lien invisible mais bien présent.
Les autres musiciens semblent s'éclater également sur scène. D'ailleurs, le rappel ''Jacqueline'' se finit en achevant le batteur, Alex et Andrew rejoignant Paul à la batterie pour un jam free style à trois de folie.
La soirée s'ouvre avec un groupe local, Superdog. Sympathique groupe français qui fleure bon la pop anglaise, avec des effluves Beatlesiennes. Mais bon, même si le public alsacien leur font un bon accueil, tout le monde garde son hystérie pour Franz Ferdinand. Après tout le bruit qu'ils ont fait dans toute l'Europe, et leur succès fulgurant, il était grand temps qu'on puisse enfin les juger sur scène et à domicile.
La batterie est posée sur une sorte d"estrade en velours rouge avec des spots intégrés, et qui se prolonge façon podium de défilé de mode. Et 4 pans tendus forment un écran. Pendant le concert, les images projetées alternent entre la pochette du dernier album, et portraits des 4 membres du groupe en noir et blanc version Krafwerk ou encore Heroes de Bowie.
Enfin ils arrivent, ils sont tous là ! Alex Kapranos, le chanteur, avec sa petite chemise rouge, sa fine cravate et son pantalon noir, et par dessus tout sa coupe de cheveux fait revivre le spectre de Clo Clo.
On les attendait au tournant, et personne n'a été déçu je crois ! Sur scène, le groupe met vraiment le feu, et c'est le cas de le dire après le solo endiablé de batterie sur ''This Fire'', qui laisse Paul Thomson totalement claqué. La tuerie continue, ébouriffant entre autres ''The Dark Of The Matinée" ou le très attendu ''Take Me Out''.
On retrouve dans le duo Kapranos/McCarthy le même genre d'alchimie qui règne entre Jagger/Richards. Les deux s'éclatent dans des duels manche contre manche jouissifs, avec une vraie complicité, un lien invisible mais bien présent.
Les autres musiciens semblent s'éclater également sur scène. D'ailleurs, le rappel ''Jacqueline'' se finit en achevant le batteur, Alex et Andrew rejoignant Paul à la batterie pour un jam free style à trois de folie.
| Très bon 16/20 | par BlackCherry |
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