Erik Truffaz
Bending New Corners |
Label :
Blue Note |
||||
Reprenant le même principe et le même lineup que sur The Dawn, Erik Truffaz affine sur Bending New Corners son travail débuté deux ans plus tôt. Toujours à l'Eden où les genres se croisent, que beaucoup cherchent sans jamais trouver, le trompettiste voltige entre les atmosphères du jazz 'classique' et les musiques urbaines prises dans leur ensemble, aussi disparate soit-il.
Nya et son flow hypnotique domine encore ce disque en participant à 4 titres dont les deux plus intéressants "Bending New Corners" et, surtout, le fabuleux "Sweet Mercy". Mais il y a également le reste, lorsque le quartet de Truffaz (puisque Nya n'y est plus) nous offre une délicieuse aventure musicale entre drum&bass et jazz sur fond d'electro-beat. La rythmique est encore à son apogée ; la qualité du son qui suit chaque album estampillé Blue Note (label mythique s'il en est) est également présente, permettant à ce disque planant de résonner d'une force incroyable lorsque le son monte pour laisser les basses s'exprimer à leur paroxysme.
Si l'effet de surprise qu'avait engendré The Dawn en 1997 n'y est plus, cela ne pose aucun problème. Au contraire. On est tout simplement ravi de poursuivre l'aventure sur ce Bending New Corners encore parfaitement maîtrisé et qui ne ressemble à rien d'autre qu'à lui-même.
Nya et son flow hypnotique domine encore ce disque en participant à 4 titres dont les deux plus intéressants "Bending New Corners" et, surtout, le fabuleux "Sweet Mercy". Mais il y a également le reste, lorsque le quartet de Truffaz (puisque Nya n'y est plus) nous offre une délicieuse aventure musicale entre drum&bass et jazz sur fond d'electro-beat. La rythmique est encore à son apogée ; la qualité du son qui suit chaque album estampillé Blue Note (label mythique s'il en est) est également présente, permettant à ce disque planant de résonner d'une force incroyable lorsque le son monte pour laisser les basses s'exprimer à leur paroxysme.
Si l'effet de surprise qu'avait engendré The Dawn en 1997 n'y est plus, cela ne pose aucun problème. Au contraire. On est tout simplement ravi de poursuivre l'aventure sur ce Bending New Corners encore parfaitement maîtrisé et qui ne ressemble à rien d'autre qu'à lui-même.
Excellent ! 18/20 | par Sinoc |
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