Secret Machines
Ten Silver Drops |
Label :
Reprise |
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Second opus de Secret Machines après l'album Now Here Is Nowhere, Ten Silver Drops apparaît comme une suite logique à son prédécesseur, en utilisant un son toujours métronomique et aérien, aux influences rythmiques allemandes et également psychédéliques. On reconnaît à la première écoute l'ambiance onirique et le son de guitare incendiaire qui ont façonné la touche Secret Machines.
Cependant, ce nouvel album se présente plutôt comme une mosaïque. Le son est moins monochrome que sur Now Here Is Nowhere, plus subtil, chaque détail apportant sa pierre à l'édifice. Le premier titre "Alone, Jealous And Stoned" nous plonge d'emblée dans l'atmosphère captivante de l'album, suivi de "All At Once", davantage up tempo, sorte de crescendo auquel s'enchaîne l'efficace "Lightning Blue Eyes", titre le plus accessible et radiophonique de l'album. "Daddy's In The Doldrums" nous fait voyager grâce à sa mélodie entêtante, révélant ce en quoi les Brooklynois excellent: le dream rock. On préferera ne pas s'attarder sur "I Hate Pretending", morceau le moins brillant de l'album, vite oublié grâce à l'accrocheur et énergique "Faded Lines", au riff imparable. Le magnifique "I Want To Know", ballade hypnotique qui se glisse sous la peau pour nous laisser transfigurés, constitue le point culminant du registre du groupe. Dès la fin de "1000 Seconds", apaisant morceau qui conclut l'album, le besoin de remettre Ten Silver Drops sur la platine se fait ressentir. Avec leurs dix gouttes d'argent, les Secret Machines transcendent leurs influences pour nous transporter d'un bout à l'autre de l'album et nous emmener plus loin encore...
Cependant, ce nouvel album se présente plutôt comme une mosaïque. Le son est moins monochrome que sur Now Here Is Nowhere, plus subtil, chaque détail apportant sa pierre à l'édifice. Le premier titre "Alone, Jealous And Stoned" nous plonge d'emblée dans l'atmosphère captivante de l'album, suivi de "All At Once", davantage up tempo, sorte de crescendo auquel s'enchaîne l'efficace "Lightning Blue Eyes", titre le plus accessible et radiophonique de l'album. "Daddy's In The Doldrums" nous fait voyager grâce à sa mélodie entêtante, révélant ce en quoi les Brooklynois excellent: le dream rock. On préferera ne pas s'attarder sur "I Hate Pretending", morceau le moins brillant de l'album, vite oublié grâce à l'accrocheur et énergique "Faded Lines", au riff imparable. Le magnifique "I Want To Know", ballade hypnotique qui se glisse sous la peau pour nous laisser transfigurés, constitue le point culminant du registre du groupe. Dès la fin de "1000 Seconds", apaisant morceau qui conclut l'album, le besoin de remettre Ten Silver Drops sur la platine se fait ressentir. Avec leurs dix gouttes d'argent, les Secret Machines transcendent leurs influences pour nous transporter d'un bout à l'autre de l'album et nous emmener plus loin encore...
Parfait 17/20 | par Lady Godiva |
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