The Young Gods
SELESTAT [Léz'Arts Scéniques] - samedi 16 juillet 2011 |
La journée aura été longue pour avoir attendu le concert du groupe suisse clôturant le festival sélestadien. Il resta peu de monde sur le terrain d'entre les deux scènes, la majorité du public parti et rassasié probablement par la série des figures du rap (Akhenaton avec Faf la Rage, Public Enemy et Assassins) et du reggae (Israel Vibration) qui ont garni une bonne partie de l'après midi. Et ceux qui n'ont pas été totalement atomisés par le précédent concert, celui de Neurosis, se joignirent aux autres pour débuter ensemble dans l'introduction "Sirius Business" et se faire cueillir par la paume calmement vrombissante et aérienne de "Blooming", les deux morceaux qui débutent le dernier album en date, Everybody Knows, et qui ouvrent également les concerts suivant sa sortie.
Les Young Gods firent donc honneur aux nouveaux titres tels le tout de rouge en lumière et le dansant "Tenter Le Grillage" à la rythmique amérindienne, les psychédéliques "No Land's Man", où Vincent Hänni se montra particulièrement être un excellent guitariste et le tranquille "Mr Sunshine", sans oublier le long trip electro rock "Miles Away". Aux autres plus anciens, après "Supersonic" dédié à Neurosis, ce fut vers la fin que les Young Gods mirent le paquet avec "I'm The Drug", "Everythere" et un très brut "Envoyé".
Une heure (enfin un petit peu plus) aura paru vraiment court. Le public n'aura pas droit à son "Kissing The Sun" - demandé de quelques gens - y ayant cru un instant au retour courtois de Franz Treichler qui annonça au nom du groupe que le concert devra s'en arrêter là. Ce sera déjà ça de pris et de dansé.
Les Young Gods firent donc honneur aux nouveaux titres tels le tout de rouge en lumière et le dansant "Tenter Le Grillage" à la rythmique amérindienne, les psychédéliques "No Land's Man", où Vincent Hänni se montra particulièrement être un excellent guitariste et le tranquille "Mr Sunshine", sans oublier le long trip electro rock "Miles Away". Aux autres plus anciens, après "Supersonic" dédié à Neurosis, ce fut vers la fin que les Young Gods mirent le paquet avec "I'm The Drug", "Everythere" et un très brut "Envoyé".
Une heure (enfin un petit peu plus) aura paru vraiment court. Le public n'aura pas droit à son "Kissing The Sun" - demandé de quelques gens - y ayant cru un instant au retour courtois de Franz Treichler qui annonça au nom du groupe que le concert devra s'en arrêter là. Ce sera déjà ça de pris et de dansé.
Excellent ! 18/20 | par Pascha |
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