Felt
Stains On A Decade |
Label :
Cherry Red |
||||
Sûr qu'à l'écoute de ce disque on se dit que Felt aurait dû devenir énorme.
Un peu plus grand que ça du moins...
Dix années d'existence et 15 titres ici pour résumer la carrière de ce groupe malmené.
Stains On A Decade c'est la compilation parfaite pour s'apercevoir à quel point on était à côté de nos pompes, à ne pas vouloir voir combien ce Lawrence était admirable.
Ce survol de la carrière de Felt commençant timidement avec la période Maurice Deebank (probablement un des guitariste les plus inventifs après Johnny Marr, si si j'assume...) et cette guitare alambiquée, tressant autant d'entrelacs et de nœuds dans lesquels ne se perd pourtant jamais Lawrence, timbre obscur mais pugnace.
Atteignant sa période plus lumineuse (son apogée oserais-je dire), après la désertion de Deebank, et l'arrivée de Martin Duffi (futur membre Primal Scream) qui réchauffe le son de sémillants claviers, apportant tout à coup un sérieux rayon de soleil dans l'univers vert-de-gris de Hayward !
Il faut posséder ce disque si on ne connaît pas Felt et que l'on veut appréhender le sujet.
Il faut acheter ce disque parce qu'il y a Penelope Tree dessus, et parce que c'est probablement un des plus beaux et ombrageux titres pop de l'histoire de... l'indie pop !
Il faut enfin écouter ce disque souvent de manière à s'imprégner totalement de la substance versatile des titres, gratter jusqu'à la moelle afin d'en retirer les plaisirs les plus grands.
Vous aussi quand vous aurez écouté 30 fois "Ballad Of The Band", ou "Trails Of Colour Dissolve" et sa batterie tribale en forme de New Wave vaseuse, vous verrez la Vierge !
Heu ! Plutôt St Lawrence vous faire de grands sourires crispés et las sur l'autel de l'indie pop.
Venez mes mignons...
On finira bien par les convertir tous ces sceptiques !
Un peu plus grand que ça du moins...
Dix années d'existence et 15 titres ici pour résumer la carrière de ce groupe malmené.
Stains On A Decade c'est la compilation parfaite pour s'apercevoir à quel point on était à côté de nos pompes, à ne pas vouloir voir combien ce Lawrence était admirable.
Ce survol de la carrière de Felt commençant timidement avec la période Maurice Deebank (probablement un des guitariste les plus inventifs après Johnny Marr, si si j'assume...) et cette guitare alambiquée, tressant autant d'entrelacs et de nœuds dans lesquels ne se perd pourtant jamais Lawrence, timbre obscur mais pugnace.
Atteignant sa période plus lumineuse (son apogée oserais-je dire), après la désertion de Deebank, et l'arrivée de Martin Duffi (futur membre Primal Scream) qui réchauffe le son de sémillants claviers, apportant tout à coup un sérieux rayon de soleil dans l'univers vert-de-gris de Hayward !
Il faut posséder ce disque si on ne connaît pas Felt et que l'on veut appréhender le sujet.
Il faut acheter ce disque parce qu'il y a Penelope Tree dessus, et parce que c'est probablement un des plus beaux et ombrageux titres pop de l'histoire de... l'indie pop !
Il faut enfin écouter ce disque souvent de manière à s'imprégner totalement de la substance versatile des titres, gratter jusqu'à la moelle afin d'en retirer les plaisirs les plus grands.
Vous aussi quand vous aurez écouté 30 fois "Ballad Of The Band", ou "Trails Of Colour Dissolve" et sa batterie tribale en forme de New Wave vaseuse, vous verrez la Vierge !
Heu ! Plutôt St Lawrence vous faire de grands sourires crispés et las sur l'autel de l'indie pop.
Venez mes mignons...
On finira bien par les convertir tous ces sceptiques !
Excellent ! 18/20 | par Lolipop |
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